Qui n’a pas vécu ou entendu des stagiaires parler de leur peur viscérale pour les mises en situation en formation présentielle ?

Environ 30% des stagiaires redoutent ces séquences, les vivant comme une mise à l’épreuve !

Certains restent parfois complètement bloqués et sont dans l’incapacité de gérer leurs émotions.

Ils peuvent se sentir jugés, ressentent une forte appréhension et objectent que les mises en pratique ne reflètent pas la réalité.

A ce titre, il arrive qu’ils ne puissent pas profiter pleinement de ces séquences, pourtant véritables « tremplin » de leur montée en compétence.

Pourquoi  le distanciel  est-il  un atout clé ?

100% (oui ,oui) 100% des stagiaires se sentent plus à l’aise avec les séquences de mise en pratique en formation « distancielle » plutôt qu’en« présentielle ».

La mise en pratique est beaucoup plus  « réaliste, simple et ludique ». Moins oppressés que par les mises en situations devant leurs pairs en face à face, les stagiaires « déposent leur trac au vestiaire »; ils sont dans le match  et jouent.

Plus naturels et moins dans l’émotion, ils se concentrent plus facilement sur leur verbal et non verbal. Ils sont à la fois dans leur propre rôle et deviennent de plus, des coachs bienveillants pour leurs pairs.

Le formateur, moteur indispensable dans les mises en pratique en face à face (numéro 10 pour les connaisseurs !), se place en « distanciel » devant le « banc de touche » pour coacher les stagiaires, accompagner les expertises et révéler d’avantage leurs talents.

L’équipe idéale ?

6 stagiaires, des sessions de 3h30, des cas et des scénarii préparés en amont avec les managers

Un cadrage, des règles du jeu au démarrage, une synthèse des bonnes pratiques à chaque action/simulation et des objectifs de progrès individuels en fin de match : le dispositif gagnant !

A vos marques !

Flore, Aurélie, bonjour,

Je tiens à vous remercier pour notre collaboration efficace depuis plus de 4 ans !
La formation efficiente et dynamique de nos équipes Relation clients nous a permis de gagner en qualité de réponse, cette qualité a été reconnue par nos clients lors d’une enquête de satisfaction !
Poursuivons ensemble pour continuer à nous maintenir dans l’excellence opérationnelle !

Nathalie KUBRYK
Responsable du réseau Pharmaliens – Direction commerciale

Alors que les français semblent plutôt favorables à l’idée de pouvoir être plus souvent en télétravail, peu d’entre eux en revanche le veulent à temps complet . Ils tiennent à travailler aussi sur place pour garder le lien social et inconsciemment pour pouvoir communiquer de façon non verbale avec les autres collaborateurs. La perception des indices non verbaux est naturelle pour la plupart d’entre nous, le « non verbal » ne demande que peu d’efforts conscients et permet de construire les premières bases d’une intimité émotionnelle et relationnelle. 

Le « non verbal » constitue-t-il un grain de sable dans la mécanique de la classe virtuelle ?

Les stagiaires virtuellement rencontrés par TeleRessources évoquent des difficultés à se former à distance sur la compétence relationnelle. 

Si le matériel utilisé, les outils et l’organisation sont évoqués c’est surtout le mode de relation lui-même dont il est question… Une stagiaire participant à un de nos cursus distanciel sur les techniques de recouvrement amiable explique « Il nous manque surtout le langage du corps, le ressenti et l’émotion, le regard des interlocuteurs… En plus, on doit avoir une écoute bien plus intense qu’en réunion physique. On ressort plus épuisé d’une session de 2H30 à distance que d’une journée en présentiel. » Un autre évoque « le décalage du son, les images qui se figent, devoir rester assis et éviter de trop bouger devant son écran, avoir les yeux qui fatiguent… tout ça dépersonnalise la relation avec le formateur ». 

En synthèse, en classe virtuelle, le cerveau est submergé d’informations reçues qu’il tente de traiter.

A l’écoute de ces remarques stagiaires, les formateurs Teleressources doivent s’adapter aux nouvelles règles d’animation de classe virtuelle :

De nombreuses entreprises veulent proposer une expérience client Exceptionnelle (l’effet “Wow”). Mais comment y arriver ?

Les émotions sont importantes mais la communication de celles-ci l’est tout autant.

Pouvoir s’exprimer sur ce que nous ressentons est primordial pour établir une relation de confiance avec autrui. Il est difficile d’exprimer des émotions telles que la colère, la peur, la tristesse ou encore l’amour, la joie et la surprise selon les situations. Malheureusement à l’époque où nous vivons, l’expression des émotions est encore taboue, peu reconnue et très gênante.

Néanmoins, dans le cycle de vie du client, c’est au moment où l’émotion est ressentie que la relation client doit véhiculer de l’empathie, de la connivence, de la proximité. La différenciation vient alors de l’effet « Wow ». C’est la capacité à surprendre, à innover, à déclencher des émotions positives !

L’effet « Wow » est provoqué par :

Décoder ces trois axes pour les décliner en postures, attitudes et comportements nécessite, comme l’indique Loïc de Villers de faire évoluer les réflexes comportementaux en intégrant les paramètres de perception, d’attentes et d’émotions…

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